Le phénomène des mini-maisons gagne à être connu. Ces petits espaces qui deviennent de plus en plus accessibles, peuvent révéler un mode de vie inspirant ainsi qu’un retour aux sources. Afin de mieux illustrer le concept des mini-maisons, voici deux émissions qui présentent ce mode de vie avec pertinence et enthousiasme, tout en demeurant réaliste :
Banc public : Bye bye la grosse cabane.
L’indice McSween : La micro-maison, une façon plus facile d’accéder à la propriété?
« La grande révolution de la micromaison » est le livre le plus pertinent que j’ai lu sur le sujet. L’auteur Gabriel Parent-Leblanc y partage une panoplie d’informations indispensables. À quel endroit peut-on l’installer, quelles sont les différentes réglementations qui s’appliquent? Il offre de précieuses réponses, tout en prenant soin de démontrer autant les bons que les moins bons côtés de ce type d’habitation.
Voici un extrait gratuit de son livre.
En effet, il est essentiel de considérer les avantages et les inconvénients. Certaines personnes manifestent un intérêt pour les tiny houses surtout pour le décor minimaliste et épuré. Ces caractéristiques peuvent se retrouver dans les appartements/lofts/studios de Montréal et les environs.
Il est donc important de bien identifier ce qui nous incite à se tourner vers les mini-maisons. Pour ma part, je préfère m’en inspirer afin de reproduire certains aspects dans mon logement.
Cet article présente Luc Parent, qui a choisi un mode de vie très minimaliste, dans son appartement de Rosemont.
Enfin, voici une courte vidéo d’une magnifique tiny house:
À Go, on tend vers le minimaliste! 3.2.1…
Crédit photo couverture: Jean Vaudreuil
